Nos fleurs fraîchement coupées

À La ferme coop aux champs qui chantent, nous ADORONS les fleurs coupées. Nous aimons les cultiver, les couper, les organiser et les partager avec notre communauté. Nous avons commencé à planter des fleurs coupées annuelles et vivaces en 2016 et chaque année depuis nous en plantons de plus en plus !!!

Nouveau pour la saison 2021, nous vous offrons deux grandeurs de bouquet: petit et grand. Nos petits bouquets sont composés d’environ d’10-12 fleurs et les grands bouquets sont composés d’environ 20-25 fleurs. Vous pouvez ajouter des fleurs coupées en option de pré-commande avec vos paniers de légumes biologiques à tous nos points de livraison. Comme toujours, nos fleurs seront également disponibles dans notre catalogue en ligne pour être livrés à nos points de livraison. Nos fleurs sont un excellent ajout à tout événement spécial. Veuillez nous contacter pour organiser nos bouquets de fleurs coupées lors de votre prochain événement!

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À propos de nos fleurs

Nous raffolons des fleurs! Nous cultivons nos fleurs avec le plus petit impact environnemental possible. Nos fleurs vivaces sont plantées dans notre verger parmi nos arbres fruitiers. Nos fleurs annuelles commencent leur vie dans notre serre chauffée de façon minimale en avril et mai avant d’être transplantées dans le jardin. Nous prenons soin des fleurs en nous assurant qu’elles soient bien désherbées et en leur donnant de la place pour grandir.

Nous sommes fier·ère·s de nos fleurs et de leur impact environnemental minimal. Les fleurs conventionnelles sont généralement cultivées dans des serres à haute intensité énergétique et/ou dans d’autres pays où elles sont acheminées vers leurs marchés.

Voici un exemple de petit bouquet.
Dans celui-ci on trouve des zinnias,
des fleurs de matricaire, des asters et des mufliers.

Cet article publié sur Équiterre.org nomme certains problèmes de l’industrie des fleurs coupées conventionnelle:

14 FÉVRIER : JOURNÉE INTERNATIONALE DES TRAVAILLEURS.EUSES DE LA FLEUR

Il est fort probable que derrière votre joli bouquet de fleurs importées, acheté avec amour et de bonnes intentions, se cache un travail effectué en majorité par des femmes et des enfants. Ceux-ci ont des emplois précaires, sous-payés et des conditions propices au harcèlement sexuel, (pas super pour la fête de l’amour ¯\_(⊙︿⊙)_/¯ ). Par exemple, au Kenya où sont produites la majorité des roses du monde, le salaire médian pour une personne travaillant dans l’industrie florale est l’équivalent de 83 $ par mois, alors que le minimum requis pour satisfaire les besoins de base est d’environ 155 $.

Aussi, puisque les importateurs exigent des fleurs impeccables, le recours aux pesticides, fongicides et engrais chimiques est plus élevé dans l’industrie florale que dans tout autre secteur agricole. Les travailleurs.euses n’en sont habituellement pas protégés et la population environnante subit les conséquences de la pollution et de la contamination de l’eau.

Afin d’en savoir plus sur la réalité de ces travailleurs et travailleuses, nous vous invitons à visionner le documentaire « À fleur de peau, un bouquet de la Colombie », présentant l’industrie de la rose en Colombie.

Cliquez ici pour lire l’article complet.

Cet article de 2017 en anglais met en évidence certains des problèmes majeurs de l’industrie des fleurs conventionnelles:

MAY 15, 2017 03:20 PM PDT

Give her chocolates, not flowers: the environmental impacts of the cut-flower industry

Did you buy your mother flowers yesterday? While those sweet-smelling roses may bring a smile to your mother’s face, unless you cut them from your own backyard, those flowers are not making the environment smile. The floriculture industry, which thrives off of days of celebration like Mother’s Day and Valentine’s Day and birthdays, in fact has huge impacts on the environment through water usage, pollution, land degradation, and fossil fuel transportation emissions. Some estimates account that one hectare of a flower farm consumes over 900 cubic meters of water per month!

Photo: Daily Mirror

Photo: Daily Mirror

If you haven’t ever thought about how those roses reached you, let’s take a look. About 80% of all roses come from South America or Africa, where they are often grown with intense irrigation systems to provide for their thirst and sprayed with pesticides to protect them from pests. (So be careful of burying your nose into those oh so fragrant petals). From those warmer countries, they must be shipped on planes to other parts of the world. Because roses are so fragile, they must be transported in refrigerated containers as soon as they are budding. That includes refrigerated trucks to transport them from airports to their final florist destinations. Flowerpetal.com reports that sending the roughly 100 million roses of a typical Valentine’s Day produces some 9,000 metric tons of carbon dioxide (CO2) emissions from field to U.S. florist.

Diving deeper, it’s easy to see how the floriculture industry, which has loose regulations, generates a lot of chemical pollution through fertilizers and pesticides. Because the cut-flower industry is such a short cycle, many agrochemicals are used which pollute air, soil and water supplies. This has dangerous effects on environmental health; roughly one-fifth of the chemicals used in the floriculture industry in developing countries are banned or untested in the US.

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